Al doilea breviar laic

Descriere

Dans la préface du «Premier bréviaire» j’ai signalé un parallélisme fortuit entre la pensée archéo-philosophique d’Emile Cioran et la nature historico-existentielle des investigations de Ioan Talpeş. En lisant le «deuxième bréviaire», j’ai réalisé sans un effort analytique particulier que je me trouvais devant une interprétation inédite de la relation Père-Fils et Dieu-Être humain que Talpeş développe dans un autre registre que Cioran mais toujours fortuit.
Toujours est-il qu’il y a un dénominateur commun entre la pensée de notre philosophe parisien, considéré par les analystes de l’Hexagone comme le plus grand styliste de la littérature française depuis Pascal et la démarche métaphysique de l’historien Ioan Talpeş. Citant le rôle que Pythagore donne à la nature («la mère vierge»), Talpeş nous signale que Pythagore n’a fait que nous montrer la voie qu’a été destinée à l’être humain. (ASTALOS, Paris/décembre 2011)